La question portant sur les irrégularités de la dette intérieure, relevée par la Task Force est à ce jour au vif du sujet. À ce propos le porte-parole de la Présidence de la République Jessye Ella Ekogha s’est exprimé au cours d’une interview chez nos confrères de l’Union où il a livré les points qui ont permis aux autorités de mettre la main sur les fraudes orchestrées par les opérateurs économiques. S’inscrivant dans cette logique nous abordons dans cette brève la problématique du montant annulé de la dette intérieure.
En informant l’ensemble des gabonais, sans langue de bois, l’homme de la communication présidentielle a avancé que les résultats obtenu par la Task Force ont été différents ,car les procédés utilisés étaient plus strict et les observations plus minutieuses. L’ équipe mis à pied d’œuvre était constituée des commissaires aux comptes, des responsables des régies financières, des experts en travaux publics et des juristes, tous rendus sur le terrain pour la vérification de l’exécution des tâches par les entreprises à avancer Jessye Ella Ekogha.
Ces entreprises ont trouvé le moyen de fournir des données erronées voir éloigner de la réalité dans le but de soustraire de l’argent au contribuable. Comment comprendre qu’un système qui vise a accompagné les opérateurs économiques exerçant sur le territoire national à obtenir des partenariats publics privés soit mis à mal par des personnes sulfureuses et cela au détriment de ceux qui respectent leurs engagements ?
De nombreuses entreprises ont vendus des éléphants blancs à l’État gabonais. Sur les 650 milliards de fcfa annoncée pour la dette intérieure, 440milliards ont été annulés par manque de justificatifs factuels. Un montant exorbitant dont l’origine a été mis à nu par les autorités. Ces créances représentaient près de 70% du montant global, un fait désinvolte pour les entreprises.
Le résultat sans contestations, ces entreprises seront conduites devant la justice a annoncé le porte-parole de la Présidence de la République.