En analysant de près le montant de la dette intérieure et en procédant aux vérifications de la mise en œuvre de l’objet des partenariats entre les entreprises et l’État gabonais, plusieurs fraudes ont été dévoilées. D’un montant révéler à plus de 70% frauduleux, les entreprise remises en cause pour les 440 milliards de dette fictive seront traduit devant la justice a révélé le Porte-Parole de la Présidence de la République Jessye Ella Ekogha au cours d’une interview dans le quotidien l’Union.
L’affaire dite de fraude de la dette fictive fait couler beaucoup de salive, car un réseau de fraudeur a été mis à nu. Bien que n’opérant pas ensemble, l’action de ces entreprises a eu un effet boule de neige sur l’économie gabonaise. Malgré la bonne volonté des autorités surtout du Chef de l’État Ali Bongo Ondimba qui avait annoncé que les entreprises ayant bénéficié des partenariats publics privés avec l’État gabonais seront reçu à la caisse aux fins du règlement de leurs factures, certaines entreprises n’ont pas manqué de procéder a un réajustement des chiffres soit en facturant des prestations non réalisées ou en surfacturant les montants. Des machinations qui ont été exposé au grand jour.
« Le bras de la justice ne tremblera pas » un propos du Chef de l’État Ali Bongo Ondimba qui s’affirme une fois de plus dans ce contexte. Alors qu’il mettait en garde contre la corruption et les détournements de deniers publics, le numéro 1 gabonais affirme une volonté ferme de rompre avec toutes les actions qui ne favorisent pas le développement du Gabon. Face à cela les ennemis du progrès paieront le lourd tribut de leurs actions.