Donnant suite à l’affaire de diffusion des vidéos obscènes des lycéennes, un conseil de discipline a eu lieu le lundi 8 février au Lycée Djoué Dabany (LDD), ces quatre filles ont eu pour sanction une « exclusion temporaire de 21 jours, incluant les quinze jours de cours perdus avec effet rétroactif ». De plus, elles seront « astreintes à des travaux d’intérêt général dans l’établissement ».
Cette affaire a susciter plusieurs réactions, pour les sanctions, « la durée de l’exclusion temporaire restante va du 8 au 13 février ». Les filles « réintègreront leurs classes respectives le lundi 15 février à 7h30», a souligné le conseil de discipline, précisant que « durant les six jours d’exclusion, elles seront astreintes à des travaux d’intérêt général dans l’établissement ».
Il s’agit simplement d’une manière de faire prendre conscience à ces jeunes filles la dangerosité de la mauvaise utilisation des réseaux sociaux et des smartphones. Bien des prémonitions faites par certains parents et des personnalités politiques comme Raymond Ndong Sima, ces sanctions sont simplement exemplaires. Elles serviront aussi d’exemple pour les autres adolescentes de cette génération.