Alors que l’UOB célèbre les 50 ans de son existence dans quelques semaines, la hiérarchie de cet établissement et les partenaires sociaux ont prévu de passer en revue la gouvernance de cette structure universitaire cinquante après sa création.
Analyser le modèle de gouvernance, la gestion des infrastructures, les aspects académiques, pédagogiques et de recherche voilà les motifs des états généraux de l’UOB ouverts hier, mardi 23 novembre au sein de l’université. Ces travaux, qui vont s’achever le 27 novembre prochain seront aussi l’occasion pour la hiérarchie et les partenaires sociaux de cette structure de s’asseoir afin d’ouvrir un dialogue.
Selon la Secrétaire générale de l’UOB, Henriette Aurélia Mombery-Massala, “ces journées de réflexion, qui impliquent toutes les composantes de notre institution, arrivent fort à propos, au moment où nous nous apprêtons à célébrer le cinquantenaire de notre institution.”
Ces travaux devraient permettre de passer en revue les problèmes qui entravent le fonctionnement de l’UOB. Pour le Secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur, Frédéric Tom Mabenga, sous l’impulsion du dialogue, c’est l’occasion de l’UOB de répondre aux missions de sa création en termes de professionnalisation des apprenants gabonais.
Pour lui, le dialogue est d’autant nécessaire qu’il permettra aux différentes parties, d’entrevoir ensemble les solutions face aux problèmes qui minent le fonctionnement de l’établissement.